jeudi 22 mai 2014

LA DENONCIATION DU SYSTEME COLONIAL DANS UNE VIE DE BOY

LA DENONCIATION DU SYSTEME COLONIAL DANS UNE VIE DE BOY

LES EXPOSANTS
CHEIKH A. K. SIDIBE
SALIOU CISS
ABABACAR CISS
MOR DIOP
FATOUN AGNES DIONE
BASSIROOU TINE
TAMSSIR YOUM


LE PLAN
INTRODUCTION
I-PRESENTATION DE L’ŒUVRE
II-EN ROUTE POUR UNE VIE DE BOY (LES CAUSES)
III-LA DENONCIATION
CONCLUSION




INTRODUCTION
L’année 1945 coïncide avec la fin du processus de prise de conscience du peuple noir. Cette prise conscience est favorisée d’une part par les intellectuels noirs de la diaspora et d’autre part par les hommes politiques et les tirailleurs ayant participé aux deux guerres. Elle se manifestera au niveau de la création romanesque par la naissance d’un nouveau courant : le courant de l’acritique de la colonisation.
Une vie de boy qui s’inscrit de ce courant s’intéressera à la prise de conscience par rapport au vrai visage de la colonisation en Afrique et particulièrement au Cameroun. En effet, ce roman fait le procès de la colonisation en dévoilant les mœurs de la société des Blancs, leur hypocrisie, la violence, le racisme, l’exploitation des colonies, et la complicité de l’Église.
I-PRESENTATION DE L’ŒUVRE
PRESENTATION DE L’AUTEUR
BIOGRAPHIE

Né en 1929 à Ebolowa dans la province du Sud au Cameroun, Ferdinand Oyono poursuit au lycée de Provins en France des études commencées au lycée de Yaoundé.Il réussit des études supérieurs de droit à la SORBONE avant d’entrer à l’Ecole National d’Administration (ENA) de Paris en section diplomatique.
Il débute en 1959 une brillante carrière de haut fonctionnaire avant de devenir ambassadeur du Cameroun dans divers pays (à New York, en Algérie, en Libye, en Grande-Bretagne et en Scandinavie).A partir de 1987 il participe à de nombreux gouvernements de son pays et assure la charge de différents ministères comme les Affaires Etrangères et la culture.
BIBLIOGRAPHIE
A la fin des années 50, Ferdinand Oyono publie en langue française 3 romans qui ont trait à la vie quotidienne en Afrique à l’époque coloniale.
Ces trois romans sont :
- Une vie de boy publié en 1956
- Le vieux nègre et la médaille publiée en 1956
- Chemin d’Europe publié en 1960

Ferdinand Oyono n’a pas exploré d’autres sujets en cessant d’écrire depuis 1960.

PRESENTATION DE L’ŒUVRE
Le roman est composé de 185 pages et est divisé en deux parties dont la première qui s’intitule « 1er cahier de Toundi » va de la page 15 à la page 106 et la 2ème intitulée « 2ème cahier de Toundi » va de la page 107 à 185.
L’INTRIGUE
RESUME DE L’ŒUVRE
Une vie de boy de Ferdinand Oyono est une œuvre qui nous relate l’histoire d’un jeune nègre du nom de Toundi qui s’enfui vers Fia ou se trouvait le père blanc suite à une bastonnade de son père.Celui-ci le conduisit à l’église St Pierre de Dangan où il devint le servant de messe et son boy.Il le baptisa sous le nom de Joseph et l’apprit à lire et a écrire.Après la mort du père blanc, il devint le boy du commandant.Là il commence encore une nouvelle vie mais sera plus tard confronté à de multiples problèmes qui le conduiront à la mort suite à un vol commis par sa camarade Sophie, la maîtresse de l’ingénieur agricole.

ETUDE THEMATIQUE
THEME PRINCIPAL

La ségrégation raciale : nous constatons dans notre roman que les blancs se considéraient supérieurs aux noirs.Cela se voyaient par la séparation des habitats (quartier blancs et quartier noirs) et aussi dans le domaine spirituel. (Illustration page 53-54)
THEMES SECONDAIRES
La violence : Elle se manifestait surtout dans les prisons.Les noirs étaient maltraités par les blancs sur leur propre terre.Il n’avaient aucun traitement de faveur alors qu’ils prônent l’amour du prochain.Le régisseur de prison faisait battre les noirs soupçonnés d’avoir commis un crime qui, souvent, sont faux.
L’infidélité : Dans le roman, l’infidélité régnait au sein des blancs.Nous pouvons prendre comme exemple la femme du commandant qui le trompait avec Mr Moreau le régisseur de prison.(Illustration page 101-102).
Religion et croyance : Ils étaient de religion chrétienne et croyaient en Dieu.Ils assistaient à la messe tous les dimanches.
La solidarité : Les noirs étaient solidaires entre eux.Cela s’est remarqué, lors de l’arrestation de Toundi avec les multiples visites qu’il a eut. (Illustration page 174-176)
II-EN ROUTE POUR UNE VIE DE BOY (LES CAUSES)
Tout commence par une course haletante dans une ambiance lourde et oppressante. C’est la course d’un enfant camerounais, Toundi,  fuyant les coups et la sévérité extrême de son père. Il est impossible pour lui de continuer à subir les sévices de ce dernier, il doit trouver un refuge… Et ce refuge il le trouve, dans l’église du père Gilbert, missionnaire du temps de la colonisation. Le père Gilbert est bourré de bonnes intentions. En effet, la bonne parole chrétienne ne peut que faire du bien et faire office de nid douillet à un petit indigène comme lui ne sachant ni lire ni écrire. C’est donc ainsi que l’aventure du jeune Toundi rebaptisé Joseph commence dans le monde injuste qui oppose colonisateur et colonisé.
Son « bienfaiteur » colonisateur lui apprend la lecture, l’écriture, lui fait connaitre le dieu à prier et à honorer… Il en fait véritablement un « boy » heureux de sa condition nouvelle. Mais un jour, le père Gilbert meure et tout bascule. Le « boy » Toundi-Joseph se voit affublé du « commandant » de la résidence en guise de maître. Ce dernier, par ses mauvais traitements, lui fait réaliser l’ampleur des injustices et des cruautés infligées aux autochtones.
C’est donc à travers le regard de ce garçon que le lecteur voit et comprend d’une part, le quotidien à l’époque coloniale et, d’autre part, les rapports déshumanisants qui lient le dominateur et le dominé. Cela reste un regard naïf certes, mais teinté tout de même d’une volonté de croire que la race humaine ne peut être si cruelle. Mais cette naïveté n’a pas été gagnante. En effet, le commandant n’aura pas pardonné à Toundi son intrusion maladroite et non intentionnelle dans la vie privée de son épouse. L’envers du décor de la vie de ses maîtres a fait découvrir à Toundi un univers scabreux rempli de mensonges et d’hypocrisie
III-LA DENONCIATION
  Dans son oeuvre, intitulée Une vie de boy , Ferdinand Oyono nous traduit le journal intime d'un enfant du Cameroun, Toundi, qui se met au service des blancs afin de fuir la cruauté de son père.
            L'évolution du personnage principal est flagrante lorsque l'on se penche sur le vocabulaire qu'il emploie. Dés le début du livre, le lecteur est frappé par la différence de registre entre l'introduction du texte qui se trouve être en fait la fin de l'histoire, et le début du premier cahier de Toundi.
             Certes, le journal commence alors que Toundi est enfant. Le vocabulaire employé montre une ignorance totale du monde des blancs. En effet, lorsqu'il décrit le père Gilbert pour la première fois, Toundi déclare à la page 16 “je ne m'y étais rendu que pour approcher l'homme blanc aux cheveux semblables à la barbe de maïs, habillé d'une robe de femme, qui donnait de bons petits cubes sucrés aux petits noirs.” Au contraire, lorsqu'il décrit son père et sa case, il emploie des termes bien précis car habitué à cet environnement: ”Le bruit des pilons annonçait notre repas du soir. Je revins doucement derrière notre case et regardai à travers les lézardes du mur de terre battue.” (20)
              Lorsqu'il s'engage comme le boy du père Gilbert, Toundi, qui vit dans un monde totalement différent, emploiera toujours ce vocabulaire enfantin et naÏf pour décrire ce qui l'entoure et lui arrive. De ce fait, il ne semble pas comprendre les abus qu'il vit et sur lesquels est basée la société coloniale française au Cameroun. Cependant, la description enfantine de ces abus force le lecteur à faire face aux inégalités et à l'exploitation des noirs comme à la page 24 “Je suis son boy, un boy qui sait lire et écrire, servir la messe, dresser le couvert, balayer sa chambre, faire son lit... Je ne gagne pas d'argent.”
             Cet état de naïveté est présent dans le texte jusqu'à la fin du premier livre. Ce qui marque vraiment un changement en Toundi, et du fait cause une modification de son vocabulaire, est l'épisode de la bastonnade, lorsqu'il se rend compte de cette cruauté envers les noirs mais aussi de l'hypocrisie du monde blanc en lui-même “Je me demande, devant de pareilles atrocités, qui peut être assez sot pour croire encore à tous les boniments qu'on nous débite à l'Eglise et au Temple...” (115) Toundi perce à jour les
excuses mises en avant pour justifier la colonisation comme la religion et la civilisation, en dénonÇant ces deux domaines en particulier. Et qui, mieux qu'un boy qui vit avec les blancs pourrait dénoncer cela?
             Ce changement de registre, qui passe à un niveau supérieur, donne plus de poids aux arguments de Toundi, cassant les stéréotypes que les blancs ont envers les noirs, les imaginant enfantins et incapable de penser ou de raisonner par eux-mêmes. La voix de Toundi s'élève dés son enfance pour dénoncer le monde des blancs, et la différence de registre de langue entre les deux cahiers de son journal souligne la cruauté de la colonisation de deux façons différentes: tout d'abord, l'inconscience de Toundi amène le lecteur à prendre conscience de la situation. Puis, C'est au tour de Toundi cette fois-ci de dénoncer lui-même la colonisation. La mort tragique du personnage principal est la “dernière touche” de cette dénonciation.
             Tout en analysant le vocabulaire utilisé dans l'œuvre, il est aussi intéressant de se demander pourquoi Ferdinand Oyono a décidé de traduire ce journal intime en franÇais, langue des colonisateurs. S'il est vrai que l'auteur a cherché à faire réagir le lecteur par lui-même, sans avoir à lui mettre la condamnation sous les yeux dans le premier cahier, la dénonciation n'en devient que plus puissante puisqu'il met le lecteur francophone, dont font parti les français, face aux conséquences de leurs actes au Cameroun.
              Au premier abord donc, Une vie de boy peut être déconcertant de part la simplicité de son vocabulaire. Cependant, et comme nous venons de le démontrer, cette simplicité cache en fait une dénonciation de la colonisation. Le changement de registre de langue ne fait que renforcer cette idée. De plus, le fait que Ferdinand Oyono ait décidé de traduire ce journal intime en franÇais met le lecteur face aux conséquences de la colonisation, si bien mise face à ses contradictions grâce à Toundi.

CONCLUSION
L’œuvre de Ferdinand Oyono nous a permis d’avoir une notion sur les conditions faites aux noirs pendant la colonisation.Ceux-ci étaient exploités et maltraités et d’autres mouraient injustement, comme le cas de Toundi.Mais les blancs avaient-il besoin d’autant de violence pour pouvoir s’incruster chez les noirs ?

4 commentaires:

  1. Ma vie est belle grâce à vous, Mein Helfer. Seigneur Jésus dans ma vie comme une bougie dans les ténèbres. Tu m'as montré le sens de la foi avec tes mots. Je sais que même lorsque j'ai pleuré toute la journée en réfléchissant à la façon de guérir, vous ne dormiez pas, vous m'étiez cher. J'ai contacté le centre de phytothérapie Dr Itua, qui vivait en Afrique de l'Ouest. Un de mes amis ici à Hambourg est également africain. Elle m'a parlé des herbes africaines mais j'étais nerveuse. J'ai très peur en Afrique parce que j'ai entendu beaucoup de choses terribles à cause de mon christianisme. dieu de la direction, prenez une mesure audacieuse et prenez contact avec lui dans l'e-mail, puis passez à WhatsApp, il m'a demandé si je pouvais venir me faire soigner ou si je voulais une livraison, je lui ai dit que je voulais le connaître et acheter un billet 2 façons de se rendre en Afrique Pour rencontrer le Dr Itua, j'y suis allé et j'étais bouche bée des personnes que j'ai vues là-bas. Brevet, personnes malades. Itua est un dieu envoyé au monde, j'ai dit à mon pasteur ce que je fais, le pasteur Bill Scheer. Nous avons une vraie bataille magnifique avec Spirit et Flesh. Adoration la même nuit. Il a prié pour moi et m'a demandé de diriger. J'ai passé 2 semaines et 2 jours en Afrique chez Dr Itua Herbal Home. Après le traitement, il m'a demandé de rencontrer son infirmière pour le test du VIH lorsque je l'ai fait. C'était négatif, j'ai demandé à mon ami de m'emmener dans un autre hôpital voisin quand je suis arrivé, c'était négatif. J'étais trop blanche avec le résultat, mais heureuse à l'intérieur de moi. Nous y sommes allés avec le Dr Itua, je le remercie, mais je lui explique que je n’ai pas assez de remerciements, qu’il comprend ma situation, mais je promets qu’il témoignera au sujet de son bon travail. Remercions Dieu pour ma chère amie, Emma, ​​je sais que je pourrais lire ceci maintenant, je tiens à vous remercier. Et merci beaucoup à Dr. Itua Herbal Center. Il m'a donné son calendrier que j'ai mis sur mon mur dans ma maison. Le Dr Itua peut également guérir les maladies suivantes ... Cancer, VIH, Herpès, Hépatite B, Foie inflammatoire, Diabète, Fribroïde, Maladie de Parkinson, Maladie inflammatoire de l'intestin, Fibromyalgie, recouvrez votre corps. Vous pouvez le contacter par e-mail ou WhatsApp, @ .. drituaherbalcenter@gmail.com, numéro de téléphone .. + 2348149277967 .. C'est un bon médecin, parlez-lui gentiment. Je suis sûr qu'il vous écoutera aussi.

    RépondreSupprimer
  2. Indépendamment de la réception quotidienne de traitements de dépôt injectables oraux ou futurs, ceux-ci nécessitent des visites de soins de santé pour le traitement et le suivi de la sécurité et des interventions. Si les patients sont traités suffisamment tôt, avant que le système immunitaire ne soit gravement endommagé, l'espérance de vie est proche de la normale tant que le traitement est réussi. Cependant, lorsque les patients arrêtent le traitement, le virus rebondit à des niveaux élevés chez la plupart des patients, parfois associés à une maladie grave parce que j’ai vécu cela et même à un risque accru de décès. Le but de «guérir» est en cours, mais je crois toujours que mon gouvernement a fabriqué des millions de médicaments antirétroviraux au lieu de trouver un traitement. pour le traitement et la surveillance en cours. Les ARV seuls ne peuvent pas guérir le VIH, car parmi les cellules infectées se trouvent des cellules de mémoire CD4 à très longue durée de vie et éventuellement d'autres cellules qui agissent comme des réservoirs à long terme. Le VIH peut se cacher dans ces cellules sans être détecté par le système immunitaire du corps. Par conséquent, même lorsque le TARV bloque complètement les infections ultérieures de cellules, les réservoirs qui ont été infectés avant le début du traitement persistent et le VIH rebondit si le traitement est interrompu. «Cure» pourrait signifier une guérison par éradication, ce qui signifie débarrasser complètement le corps du virus réservoir ou une guérison fonctionnelle du VIH, où le VIH peut rester dans les cellules du réservoir mais le rebond à des niveaux élevés est empêché après une interruption du traitement.Dr Itua Herbal Medicine me permet croit qu'il existe un espoir pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, de la schizophrénie, du cancer, de la scoliose, de la fibromyalgie, de la toxicité de la fluoroquinolone
    Syndrome Fibrodysplasia Ossificans Progressiva.Fatal Familial Insomnia Factor V Leiden Mutation, Maladie de Epilepsy Dupuytren, Desmoplastic, petite tumeur à cellules rondes, Diabète, Maladie de Creutzfeldt-Jakob carcinome.Asthme, Maladies allergiques.Hiv_Aids, Herpe, Copd, Diabete, Hépatite, j'ai lu en ligne à son sujet comment il a guéri Tasha et Tara, je l'ai donc contacté à drituaherbalcenter@gmail.com et a même parlé de whatsapps +2348149277967 alors croyez-moi que c'était facile J'ai bu son médicament à base de plantes pendant deux semaines et j'ai été guéri comme ça, le Dr Itua n'est-il pas un homme merveilleux? Oui il l'est! Je le remercie beaucoup et je vous conseillerai donc si vous souffrez de l'une de ces maladies. Veuillez le contacter, c'est un homme bien.

    RépondreSupprimer
  3. On m'a diagnostiqué un cancer du sein au stade 3 en août 2010. Un ami précieux m'a parlé du Dr Itua Herbal Center en Afrique de l'Ouest. Elle m'a donné son numéro de téléphone et son adresse électronique. Je l'ai rapidement contacté pour qu'il me garantisse que ses médicaments à base de plantes je guérirai de mon cancer et je guérirai pour toujours j'ai dit OK.Je lui demande quel est le processus de guérison, il me demande de payer les honoraires que j'ai fait et dans les 7 jours ouvrables, il m'a envoyé le médicament à base de plantes, puis il m'a demandé J'ai dit à mon ami Gomez à propos du médicament à base de plantes afin qu'il me donnât d'aller le boire.Alors après l'avoir bu pendant deux semaines, j'ai été guéri, je suis tellement reconnaissant et je promets que je le ferai Je recommande à quiconque est atteint d'un cancer et que ce que je suis en train de faire. La phytothérapie Dr Itua me fait croire qu'il existe un espoir pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, de la schizophrénie, du cancer, de la scoliose, du cancer de la vessie, du cancer colorectal, du cancer du sein et du cancer du rein. , Leucémie, cancer du poumon, cancer de la peau, cancer de l'utérus, cancer de la prostate Fibromyalgie, une
    Syndrome Fibrodysplasie, Epilepsie, Maladie de Dupuytren, Diabète, Maladie cœliaque, Angiopathie, Ataxie, Arthrite, Sclérose latérale amyotrophique, Maladie d’Alzheimer, Carcinome adrénocortique.Asthme, Maladies allergiques.Aide du VIH, Aides au VIH, Herpès, Maladie inflammatoire chronique, Trouble de la mémoire,
     Voici son information de contact ...... [Email ... drituaherbalcenter@gmail.com/Whatsapp ... + 2348149277967]

    RépondreSupprimer